Avec l'autorisation de leur auteur, nous mettons en ligne deux documents consacrés à la tragédie d'Oradour et des « malgré-nous ».
Ces deux textes n'engagent que leur auteur et d'aucune façon notre association, mais dans l'intérêt du débat, il nous a semblé intéressant que les personnes qui nous font l'honneur de consulter notre site puissent prendre connaissance de ces documents.

1. Le 10 juin 1944, Oradour-sur-Glane et les Malgré-Nous
« Du 12 janvier au 13 février 1953 s'est tenu au Tribunal militaire de Bordeaux un des procès les plus médiatisé de l'après-guerre, car des Alsaciens figuraient sur le banc des accusés : celui de la destruction du village d'Oradour-sur-Glane et de l'anéantissement de la presque totalité de ses habitants, du plus atroce crime de guerre perpétré sur le sol français. »
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Oradour et les Alsaciens

2. Le procès de Bordeaux et ses conséquences

Le procès d’Oradour-sur-Glane, qui s’est tenu à Bordeaux du 12 janvier au 12 février 1953 est-il une vieille histoire ?
Certes non, comme l’ont démontré les réactions passionnées qui ont suivies la condamnation, le 14 septembre 2012, d’un survivant de la tragédie, Robert Hébras, pour ses
propos négationnistes tenus dans sa brochure Oradour-sur-Glane, le drame heure par heure : « Je porterais à croire que ces incorporés de force fussent tout simplement des volontaires », outrepassant ainsi, d’après l’arrêt de la Cour d’Appel de Colmar, « les limites de la liberté d’expression en mettant en doute (…) le caractère forcé et non volontaire de l’incorporation de force de jeunes Alsaciens dans les unités allemandes de Waffen-SS, notamment ceux ayant participé ou assisté au crime de guerre commis le 10 juin 1944».
Sans vouloir à nouveau justifier la réalité de l’incorporation de force des 13 Malgré-Nous, chose définitivement reconnue et jugée par la Justice française en 1953 et confirmée par elle en septembre 2012, il convient de revenir sur certains points de cette affaire qui continue de diviser une partie de l’opinion, d’autant plus que Robert Hébras a décidé de se pourvoir en cassation. »
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Le procès de Bordeaux