AVAIENT-ILS LE CHOIX ? Réquisition de la main-d’œuvre dans le département de l’Indre, 1942-1945
Par AG le dimanche 1 mai 2022, 17:22 - Nous avons lu - Lien permanent
Le premier ouvrage consacré totalement à la réquisition de la
main-d’œuvre indrienne, durant la Seconde Guerre mondiale, voit enfin
le jour. Ce livre présente une reconstitution minutieuse des
différentes phases de cette réqui-sition, des départs volontaires
jusqu’au peignage des entreprises, sans oublier le trop fameux STO.
Jean-Luc Stiver nous offre là un récit complet, montrant les rouages implacables de l’administration de Vichy, pour répondre aux exigences de l’Allemagne nazie.
La préface est de Raphaël Spina, ancien élève de l’École Normale Supérieure de la rue d’Ulm, docteur et enseignant-chercheur en Histoire à l’université d’Aix-Marseille, spécialiste national de la réquisition ; en voici quelques extraits :
« Et ce qui n’empêche pas Jean-Luc Stiver de nous apporter des informations utiles, y compris pour une meilleure connaissance du STO au plan national… »
« De même, aucun historien n’avait réussi à savoir sur quels critères un requis du STO était affecté non pas à l’Allemagne, mais à l’Organisation Todt, chargée de fortifier les côtes et autres travaux militaires en France occupée. La note ici retrouvée du 18 mai 1943, signée Pierre Laval, donne enfin une explication… »

Jean-Luc Stiver nous offre là un récit complet, montrant les rouages implacables de l’administration de Vichy, pour répondre aux exigences de l’Allemagne nazie.
La préface est de Raphaël Spina, ancien élève de l’École Normale Supérieure de la rue d’Ulm, docteur et enseignant-chercheur en Histoire à l’université d’Aix-Marseille, spécialiste national de la réquisition ; en voici quelques extraits :
« Et ce qui n’empêche pas Jean-Luc Stiver de nous apporter des informations utiles, y compris pour une meilleure connaissance du STO au plan national… »
« De même, aucun historien n’avait réussi à savoir sur quels critères un requis du STO était affecté non pas à l’Allemagne, mais à l’Organisation Todt, chargée de fortifier les côtes et autres travaux militaires en France occupée. La note ici retrouvée du 18 mai 1943, signée Pierre Laval, donne enfin une explication… »
« À défaut de la reconnaissance de leurs souffrances par l’État et la
population, il reste leur étude et leur redécouverte par les
historiens, ainsi que celle des réfractaires. Ce solide ouvrage va y
contribuer à coup sûr, pour les requis et réfractaires de l’Indre et
indirectement pour les autres aussi. Il reste à souhaiter que chaque
département connaisse tôt ou tard une monographie d’aussi bonne
qualité… »
Ce livre est disponible en s'adressant à l'auteur.
